Fil InfoFrance

lundi 23 avril 2007

CONSEQUENCES DE CE 1° TOUR ...CONFIDENCES & HOMMES DE L'OMBRE DERRIERE NOS CANDIDATS

…Depuis ces derniers résultats ma connection internet ne s'est pas arrêtée et décalages horaires obligeants,voilà 27 heures que je suis derriére mon écran...Derniére communication intéressante,cet aprés-midi avec l'un de mes exellents Amis de Falls Church où j'ai résidé en Virginie,(Dans le triangle:White-house,Pentagone et Langley)à qui j'ai demandé de me préciser:quels industriels et réseaux de renseignement étaient derrière nos grands candidats ? Interessante réponse!!Surtout,pour moi lorsqu'elle émane des USA et de cette "source".. Il est de notoriété publique que le Président Chirac a été l’un des protégés de l’industrie aéronautique française. Ca a commencé avec son père, Abel, qui est devenu un des directeurs de Dassault. Le PDG de la société, cet industriel hors normes qu’était Marcel Dassault, était lui-même le mentor du jeune Jacques Chirac. Les liens d’amitié – et d’affaires – se sont poursuivis lorsque Serge Dassault a pris les rênes du groupe. Or voilà que Nicolas débarque dans le jeu, avec d’autres accointances dans le monde de ces industries dont le principal client demeure l’Etat… Sarkozy est lui un proche d’Arnaud Lagardère, l’un des deux présidents du directoire (avec l’allemand Manfred Bischoff) du groupe EADS, le constructeur d’Airbus, de l’Eurocopter, de l’Eurofighter et l’un des grands actionnaires de Dassault. Certes, Nicolas a su faire pression sur Arnaud lorsque Paris-Match a publié les photos de Cecilia Sarkozy aux bras du président de Publicis Events Worldwide : Genestar, le rédacteur de Paris-Match, a fini par être remercié. Mais en retour, Nicolas continue à se montrer bienveillant envers son ami Arnaud . Comme le note Intelligence Online, lors des journées de la Défense de l’UMP le mois dernier, Nicolas a fait entendre que les conditions d’attribution du contrat pour le satellite de communication militaire Syracuse 3C, qui aurait dû tomber dans l’escarcelle d’Alcatel, pourraient être révisées – ce qui laisserait une chance à l’une des filiales d’EADS, EADS Astrium, de revenir sur le marché…Encore faudrait-il que Nicolas devienne président.
Tout cela est de bonne guerre. Vu des Etats-Unis, il n’y a plus grand-chose dans ces relations incestueuses privé-public qui puisse choquer. Il vaut encore mieux un candidat d’expérience qui a ses réseaux qu’une candidate fleur-bleue comptant sur autrui – les Jean-Louis Bianco, les Chevènement – pour se construire en quelques semaines un carnet d’adresses dans l’univers de la défense ou du renseignement. Un détail piquant d’ailleurs : c’est le même ancien directeur de la DGSE, Jean-Claude Cousseran, qui sur les questions de renseignement conseillerait tant le tandem Bianco-Royal que le candidat Bayrou. Vive la convergence…Bayrou a d’ailleurs comme autre conseiller en matière de défense l’amiral Alain Coldéfy… lui-même conseiller militaire du président d’EADS!

Bref, que les Français se rassurent : quel que soit le candidat, c’est EADS qui a les meilleures chances de remporter les élections.

VU DE COLOMBIE • Sarkozy doit éviter le baiser de la mort

"Le slogan que Nicolas Sarkozy veut éviter au second tour est Sarko = facho", affirme la correspondante du quotidien El Tiempo à Paris. Pour Maria Camila Morales, "il apparaît clairement que le candidat conservateur va s'attacher à se montrer plus doux, plus paternaliste. Son premier discours d'après-premier tour l'a bien montré. Il doit éviter le baiser de la mort du FN. Il ne faut pas que Le Pen dise de lui qu'il est le candidat idéal." En Colombie, la campagne a bien sûr été suivie de près, car "nous avons un problème commun, il s'appelle Ingrid Bettancourt. Sarkozy a même demandé au président Uribe de discuter directement avec les FARC pour obtenir sa libération."

"L'heure est à l'atterrissage pragmatique"

Comme le dit Eric le Boucher, "l'heure est à l'atterrissage pragmatique" :

"L'heure était venue de comprendre que d'autres pays ont vaincu le chômage et que, par conséquent, la crise qui persiste en France a des causes qui ne relèvent ni de l'Europe ni du monde, mais d'elle-même : son défaut d'adaptation aux réalités du XXIe siècle."

C'est également en substance ce que dit le Financial Times dans son édito, Time to get serious about France :

Whoever makes it through to the next round – likely to be Sarko and Ségo, although this race is still open – should get real. France needs answers.

The level of entrenched jobless among the young is intolerable. The rules protecting those with jobs against those without are ultimately immoral. The state’s payroll and spending are unreal. Reform is unavoidable. It will be unnecessarily painful unless France’s future leaders start building a constituency for change now.

La France a besoin de réponses. La France est-elle pour "l'atterrissage pragmatique" ?

La France est une catastrophe végétative (The Times)

L'auteur de la chronique fut un temps "étudiant étranger" à l'ENA, comme il le dit en introduction de sa chronique.

Voici comment il voit cette élection :

To me Ségolène Royal and François Bayrou seem non-options, and Nicolas Sarkozy the single choice. Yet what could he do, if elected? The country’s problems can be summed up in one dispiriting phrase: les droits acquis — acquired rights.

Nicolas Sarkozy est donc, selon l'éditorialiste du Times, l'unique choix possible. Il rejoint ainsi The Economist qui voit dans Nicolas Sarkozy une chance pour la France.

L'auteur de cette chronique se demande aussi ce que le prochain président de la République fera pour la culture. Seulement, il le fait en des termes qui sont totalement étrangers à l'establishment culturel français qui baigne dans la même eau depuis des lustres :

And what could any president do about culture?
It is not only in economics that there is a sense of backwardness, even if French productivity remains higher than ours. Young people envy the British cultural scene, for all its froth, but it is America’s all-round superiority that truly hurts: in universities, in science, in orchestras, in films, in the best popular culture, in literature.
Where is the French E.O. Wilson, or Don DeLillo? Where are The West Wing, The Sopranos, The Simpsons?
Like us they can nod their heads sadly but knowingly at the Virginia shootings, but they are not so prejudiced as to believe that one atrocity defines a country. The new president could increase cultural subsidies farther, but the best American universities, like The Simpsons, are financed privately.

Voilà des questions qu'il faut, en effet, oser poser lorsqu'on parle de "Culture" en France : où sont les West Wing, les Sopranos, ou les Simpsons français ? C'est à dire de l'authentique culture populaire de masse qui soit de qualité, sans être subventionné par l'Etat - où sont-ils

vendredi 20 avril 2007

COLOMBIA MA CHERIE......

colombia

mardi 17 avril 2007

MAITRE SARKOSY !!! QUELLE DEMOCRATIE ET QUELLE JUSTICE ??..

Cet ouvrage concerne le bilan de Nicolas Sarkozy.

Chers amis,

Face à l’acte de censure qui vient de frapper le magistrat Serge Portelli, [1] il est d’extrême urgence et d’utilité publique de diffuser son ouvrage interdit, décrivant les années de pratiques ministérielles de M. Sarkozy que la population est ainsi empêchée de connaître. Je n’ai pas abusé des messages politiques dans la période récente, ne me sentant représentée par aucun des candidats de la gauche dite "anticapitaliste" ou "antilibérale" (je ne parle pas de Mme Royal, que je ne considère pas comme une femme de gauche). Mais il est certain qu’on ne saurait prendre la responsabilité 1° de dire qu’on ne savait pas en avril 2007 ce que le candidat favori du grand capital avait fait pour la "sécurité" de ce dernier et l’insécurité du reste de la population et ce qu’il s’apprêtait, dans une conjoncture ressemblant furieusement à celle de la fin des années trente, à faire une fois porté au poste suprême de l’État français ; 2° d’avoir favorisé son accès audit poste.
Merci de diffuser le plus largement possible.

Amicalement à tous,

Annie Lacroix-Riz
P.S.
Téléchargez l’ouvrage au format PDF en cliquant le lien ci-dessous.
1] Il devait être édité par les Editions Michalon.... qui vient d’y renoncer au dernier moment empêchant toute publication chez un autre éditeur avant les élections. _ L’éditeur Michalon a subi des pressions.
Cela est grave. Il faut diffuser ce document par Internet à un maximum de personnes.
L’auteur Serge Portelli est membre du syndicat de la magistrature. Son livre "Ruptures" dresse le bilan de Nicolas Sarkozy au Ministère de l’Intérieur.
Il faut que personne ne puisse dire "on ne savait pas...".
Il n’est pas trop tard, il n’est jamais trop tard.
Lien : " http://www.marcfievet.com/article-6406819.html " à "copier-coller" dans votre barre d'adresse OU:en cliquant sur le titre de cet article MERCI

dimanche 15 avril 2007

DERRIERE LES GRANDS CANDIDATS DE NOS GRANDS PARTIS...DANS L'OMBRE DU "POUVOIR " aux "AFFAIRES "..........: " BILDERBERG " ..." LA TRILATERALE "

Cliquer ici ou "copier-coller"dans votre "barre d'adresse " pour accéder à la mise à jour sur le Bilderberg 2006
" http://www.bilderberg.org "
Le Groupe de Bilderberg rassemble l'élite mondiale de la finance, de l'économie, de la politique et des médias. C'est le plus puissant des réseaux d'influence, au point d'être considéré comme un véritable gouvernement mondial occulte.

Patrons de multinationales, chefs d’Etat, banquiers, dirigeants de presse… ils sont une centaine et tiennent le monde entre leurs mains. Signe particulier : ils participent tous au Bilderberg, un puissant réseau dont les membres sont tenus au silence. Enquête sur le cercle de pouvoir le plus discret de la planète.

«Les réunions de Bilderberg ont vu le jour à la fin de la guerre et les premiers participants étaient pour certains d’anciens cadres de l’Allemagne nazie recrutés par la CIA pour lutter contre l’URSS… » Depuis son bureau de l’Université de Liège, Geoffrey Geuens prépare une thèse sur les interactions entre médias et pouvoir. Dans son livre sorti en 2003* , il consacre un chapitre entier au Bilderberg, « probablement le club le plus discret et le plus fermé ». Créé par le Prince Bernhard des Pays-Bas, le Bilderberg tire son nom de l’hôtel où se sont réunis les premiers participants. Depuis cinquante ans, l’élite mondiale de la finance, de la politique, de l’aristocratie et des médias se retrouve chaque année, aux Etats-Unis ou en Europe, pour débattre pendant quatre jours, à l’abri des regards. De l’élection de Miss France ? Pas vraiment, « Bilderberg n’est pas un club de loisirs où l’on joue au bridge, c’est un lieu où l’on pense l’avenir du monde », précise le sociologue belge.

Pas de site internet, pas de conférence de presse, Bilderberg cultive la discrétion à l’extrême. Olivier, du collectif de médias indépendants Indymédia se souvient : « La sécurité autour de la réunion était très bien organisée, il n’y avait aucune possibilité d’approcher à moins de 200 mètres de l’hôtel. Il était même interdit de prendre des photos, même en restant à l’extérieur du périmètre. » Seattle ? Gênes ? Non, Versailles. Le Bilderberg a réservé du 15 au 18 mai 2003 le somptueux Trianon Palace. « Une partie du boulevard qui y amène a été bloqué sur 300 mètres, ainsi qu’une partie du parc du château. » Olivier a malgré tout réussi à prendre quelques photos. On y reconnaît le milliardaire Rockfeller, des gouverneurs de banques centrales, le roi d’Espagne, les plus proches conseillers de Bush et des chefs d’Etat en exercice. Vous n’en avez jamais entendu parler ? Normal, quasiment aucun média n’en a parlé et les Versaillais eux-même n’ont rien su.
Source : Indymedia France, Bilderberg 2003 à Versailles

Le mythe du complot mondial

« Davos aime la couverture médiatique et la publicité tandis que le Bilderberg érige la discrétion en condition d’appartenance au groupe (…) C’est une sorte de règlement intérieur non écrit, poursuit Olivier Hoedeman de l’ONG Corporate Europe Observatory, qui permet de maintenir une grande franchise dans les débats, mais qui a le gros inconvénient de créer des fantasmes. » Aux Etats-Unis, des journaux d’extrême-droite se sont emparés du sujet pour dénoncer un ‘’complot mondial'’. Geoffrey Geuens, le sociologue belge, démonte l’argument très facilement même s’il reproche aux ‘’Bilderbergers'’ d’attiser eux-mêmes la théorie du complot par le mystère qu’ils entretiennent : « Ses participants appartiennent à un même groupe, ont fait les mêmes écoles, viennent des mêmes familles… La théorie du complot repose sur l’idée que des individus se réuniraient en secret pour se mettre d’accord. Je crois, comme Pierre Bourdieu, que ces gens se ressemblent tellement qu’ils n’ont pas besoin de se réunir pour savoir ce qu’ils doivent décider, les choses se font naturellement. ». Bilderberg dévoile d’abord la structure du pouvoir, les relations permanentes entre médias, politiques et économiques. Mais rien ne justifie selon lui que le public soit tenu à l’écart.

Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, vit aujourd’hui à Bristol et se considère comme un militant de l’altermondialisme. Il découvre l’existence de ce cercle un peu par hasard : « Un activiste écolo m’a un jour parlé de Bilderberg, j’ai d’abord pensé que ce type était complètement fou » Il apprend ensuite que le domaine www.Bilderberg.org n’a pas été déposé et décide de l’acheter pour un créer un site web citoyen aussi complet que possible. Dans les mois qui suivent, son courrier est régulièrement ouvert. Il se rend à deux rencontres de Bilderberg et parvient finalement à décrocher quelques rares confidences de participants. « Ils disent que c’est une réunion privée entre personnes privées mais c’est étrange car ils ont tous de lourdes responsabilités dans les affaires publiques et parlent de l’avenir du FMI ou de la Banque mondiale en présence de leurs présidents respectifs, de la libéralisation de l’Europe en présence des commissaires européens… » Tony veut bien croire qu’aucune décision ne soit prise formellement dans l’enceinte d’un Bilderberg, mais il est évident que « les débats permettent d’aboutir à un consensus, de créer la toile de fond des politiques et des décisions qui seront prises par la suite au FMI, au G8 ou ailleurs. » Pour la réunion de Versailles, Tony a choisi d’arriver la veille pour visiter discrètement la salle de réunion avant le début des festivités. Il découvre alors un écran géant sur le mur, un projecteur et une liaison satellite : « Cela signifie qu’ils organisent des vidéoconférences, qui sait si Bush, Tony Blair ou d’autres ne participent pas à distance à ces réunions ? »

« J’ai fait trois Bilderbergs »

« C’est un mythe, flatteur pour les participants mais sans aucun fondement », conteste * André Lévy-Lang. L’ancien PDG de la banque Paribas, administrateur de quelques unes des plus grandes entreprises françaises, est l’un des rares participants français à avoir accepté de répondre à mes questions**. Coopté par un autre Français pour intégrer le réseau, André Lévy-Lang a même fait partie pendant plusieurs années du comité de direction de Bilderberg. Il résume la philosophie du groupe en une phrase : « développer les contacts et les échanges entre des personnalités des pays membres de l’OTAN , en toute liberté. »

Nicolas Beytout, directeur du Figaro, a également accepté de dire quelques mots : « J’ai fait trois Bilderberg mais on ne demande pas à participer, on est invité par le comité de direction. (…) Nous sommes installés par ordre alphabétique, il n’y a absolument aucun protocole ni décorum. Des sessions thématiques sont annoncées à l’avance avec deux ou trois orateurs qui font un exposé avant d’ouvrir le débat avec la salle. » La confidentialité ? « Un gage très grand de sincérité qui permet aux participants de dire vraiment ce qu’ils pensent. » Nicolas Beytout ne veut pas en dire beaucoup plus, « puisque c’est la règle de base », mais concède avoir assisté à des débats passionnants comme cette fois « où les patron de Shell et de BP ont débattu des réserves pétrolières et du développement durable… » Michel Bon, l’ancien PDG de France Telecom, a lui aussi été invité à deux reprises : « Ce n’est en rien une institution, ni un lieu de pouvoir quelconque. » La théorie du gouvernement mondial occulte est pour lui « un vieux fantasme : les jésuites, les francs-maçons, les inspecteurs des finances… comme ce serait simple ! » Thierry de Montbrial, directeur de l’Institut Français des Relations Internationales et membre du comité directeur du Bilderberg depuis presque 30 ans, préfère parler de club : « Si un élu n’avait pas le droit de parler à huis clos avec des gens compétents et informés, le monde se porterait mal ! Par exemple, j’ai invité Jospin en 1997 juste quelques mois avant qu’il ne devienne premier ministre… »

Alors, simple club ou gouvernement du monde ? Interrogée le 19 mai 2000 par Patricia Mc Kenna***, la Commission européenne a apporté malgré elle un début de réponse : «Pour ce qui est de la participation de membres de l’ancienne Commission aux réunions de Bilderberg, seules les dépenses de voyage et les indemnités journalières étaient à charge du budget de l’institution. » Lorsque les frais sont pris en charge par les contribuables de l’Union européenne, peut-on encore parler de ‘’club privé'’ ? Au fait, le prochain Bilderberg aura lieu à Munich au printemps prochain mais ne le répétez pas, c’est un scoop très privé.

* Tous pouvoirs confondus. Etat, Capital et Médias à l’ère de la mondialisation, Anvers, EPO, 2003, 471 p. 29 €.
** Les personnalités suivantes ont toutes participé à au moins un Bilderberg mais n’ont pas voulu répondre : Les députés *Pierre Lellouche,*Dominique Strauss-Kahn, le Ministre *Jean-François Copé,*l’ex-commissaire européen Pascal Lamy, les patrons du MEDEF, de Danone, de Lafarge, d’AXA, le juge Jean-Louis Bruguière, et les journalistes Alexandre Adler (Le Figaro) et Eric Le Boucher (Le Monde).D'autres membres du Siècle...

Gérard Worms président de la banque Rothschild, administrateur de la Société générale de Belgique (une banque présidée par Etienne Davignon, un membre éminent du Groupe de Bilderberg ).
*Ernest-Antoine Seillière président du MEDEF, président des holdings Wendel Investissement et CGIP. membre du Groupe de Bilderberg.
*Jean-Claude Trichet président de la Banque Centrale Européenne, ancien gouverneur de la Banque de France, Membre du Groupe de Bilderberg et de l'IFRI.
Jean Peyrelevade président du Crédit Lyonnais
*Louis Schweitzer président de Renault, membre du Groupe de Bilderberg, de l'IFRI, et du Forum de Davos
Michel Bon ex-président de France Telecom
*Louis Gallois président de la SNCF
*Martine Aubry membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements socialistes successifs
Olivier Schrameck directeur de cabinet du premier ministre Lionel Jospin de 1997 à 2002
*Dominique Strauss-Kahn membre du Parti Socialiste, ancien ministre des Finances de **Lionel Jospin. Membre du Groupe de Bilderberg.
*Hubert Vedrine, membre du Parti Socialiste, ancien ministre des Affaires étrangères de Lionel Jospin, ancien Secrétaire Général de l'Elysée sous François Mitterrand. Membre du Groupe de Bilderberg et de l'IFRI.
**Jean-Pierre Chevènement, membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
*Elisabeth Guigou, membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
**Bernard Kouchner membre du Parti Socialiste, ministre dans plusieurs gouvernements
Alain Minc consultant, conseiller auprès de plusieurs grands chefs d'entreprises et ministres
*Michèle Cotta ex-directrice générale de France 2, et ex-directrice du service politique de France
*Patrick Poivre d'Arvor présentateur vedette du journal TV sur TF1 (la chaine la plus regardée en France)
*Anne Sinclair journaliste, productrice TV
Franz-Olivier Giesbert ex directeur général du Figaro, présentateur de l'émission "Culture et Dépendances" sur France 3
Jean-Marie Colombani directeur du journal Le Monde
Denis Jeambar directeur de la rédaction de L'Express

Et désormais Messieurs: Michel Roccard et Bernard Kouchner suggérent de s'allier à:
François Bayrou !!!!!......

PLEASE!!!PRATIQUEZ UN VOTE INTELLIGENT.....

N'hésitez pas à voter pour des "petits" candidats. Même les grands partis d'aujourd'hui ont été petits à leurs début... En n'osant voter que pour les grands partis, nous rendons impossible l'émergence d'une alternative politique véritable, en phase avec les aspirations et les préoccupations des gens.

Si vous êtes français, ne votez pas pour des Enarques. Leur méthode de gouvernement est basée sur le mépris de la population, considérée comme un cheptel à gérer.

VOTEZ EN CONNAISSANCE DE CAUSE

vendredi 13 avril 2007


Article publié le 8 avril sur le blog MSN de la chaîne présidentielle

Avant de choisir un candidat, faites le travail d'analyse et d'étude approfondie nécessaire à votre décision. Cette présidentielle ne revêt pas la même importance que les précédentes, elle est un tournant majeur pour notre pays et pour sa démocratie. Toutes les informations nécessaires pour se faire son opinion sont disponibles sur internet, tout y est, il suffit de chercher et de lire.

Contrairement aux élections précédentes où la transparence n'était pas de mise par faute de moyens d'accès aux informations, cette année elle est au rendez-vous pour qui veut chercher, grâce à internet et aux millions de personnes qui ont apporté leur petite pierre à l'édifice, que ce soit au niveau local ou au niveau national.

Personne ne pourra dire "après" qu'il ne savait pas ou qu'il n'avait pas accès à l'information. Car l'enjeu n'est plus le même, tellement la machine à communiquer du clan Sarkozy (cf. "La com Sarkozy : un système d'information intriguant") a occulté les dérives anti-démocratiques qui ont atteint notre pays (cf. aussi le classement des prix de l'association Anticor - anti-corruption). Même Bové a raison de demander à ce que le ministère de la justice disparaisse et soit remplacer par un organisme totalement indépendant du pouvoir politique en place.

Il vient également d'être annoncé la sortie le 11 avril d'un livre fort intéressant d'Azouz Begag, ministre démissionnaire il y a quelques jours, parlant en particulier des humiliations, des intimidations et des insultes, qu'il a subies au gouvernement depuis la crise des banlieues. A lire absolument, cela laisse pantois...

Pour terminer sur une note plus gaie et plus high-tech, notez qu'aux Etats-Unis, la grande révolution internet des prochaines élections présidentielle, c'est l'arrivée en force des réseaux sociaux. Barak Obama, démocrate, à créer le sien, myBarakObama pour que tous ses partisants soient interconnectés et réunis au sein de son réseau. John Edwards lui aussi s'attaque aux réseaux sociaux, mais dans une direction opposée : il crée sur chacun des principaux réseaux sociaux sa propre fiche avec son programme, et laisse discuter les interlocuteurs autour de ces éléments.

Arrive également en France notre:"New blog social des citoyens Expatriés" qu'ici avec notre équipe:" Offshore Citizens ",nous vous préparons attendu que nous sommes déjà 940 000 votants(le double par rapport aux élections de 2002!!!.. et peut être la moitié de ce que nous serons hors de France en 2012...!!compte tenu de la situation dans laquelle nous ont plongés nos gouvernants et leur systeme.., l'exode n'est pas Fini!!!......Attendez-vous donc à être sollicité pour les années qui viennent dans les réseaux sociaux de tel ou tel élu ou candidat :-)

Ce fut un plaisir de passer cette semaine avec vous, et j'espère que cela fut réciproque :-) Et dans tous les cas, VOTEZ ! et que le meilleur, pour la France, gagne.

Publié par offshorebusiness sauvanet à 07:05

Libellés : politique

DANS 15 JOURS :ELECTIONS EN FRANCE CHERS CANDIDATS ET...

A tout nos dirigeants et POLITIQUES proches ou au Pouvoir,Nous sommes en 2000…………..déjà 2007 !!!...La génération de ce Monde penseet vit différemment, elle est : citoyenne du MondeVous ne pouvez ignorer les valeurs de cette génération et les valeurs de SA "CULTURE" au risque de conduire la France "droit dans le mur"Ouvrez les yeux! adaptez-vous !! ou retirez-vous !!!.Car tout va allerencore plus vite Messieurs... Violences et FORCES n'arrêteront RIEN !! - Aujourd'hui un bureau n'est plus indispensable !! Tout est en mouve--ment , portable, mobile...:téléphones portables,ordinateurs portables...- Pas de pays et pas de patrie ! Avant tout :"Le Monde",l'Europe,les USA, laChine.. (les blocs)- Pas de Race : au nom des "droits de l'Homme" ! le racisme se doitd'être :écrasé,éliminé,conspué.. Pour le Respect de Tous,peu importe:les origines ou la couleur- Pas de diplôme indispensable ! !car,que vaut aujourd'hui un diplôme sansexpérience ?- Pas de cigarette !! interdiction de fumer partout !!!!- Pas de hiérarchie ou très peu !! ne vous êtes-vous pas évertués au nom de:" l'égalité ", à couper toutes les têtes qui tentaient de sortir dela masse du peuple ? ou " du rang"- Pas de Parti Politique !! Vous nous avez tellement" bluffé", menti , fait tellement de promesses bien évidemment non-tenues ! queDésormais , cettegénération 2000…. Ne Croit plus : qu'en les PERSONNES....- Plus de cravate….l'habit ne fait pas le moine !!!!...Sportswear !!! ou "Jean-Blazzer" - Plus de langue "locale" non plus!! L'Anglais par défaut est beaucoup +important- Pas de "mariage" on vit ensemble comme "Hollande-Royal" c'est plusfacile et plus avantageux "fiscalement coûtant" - Pas de religion ! ! ou bien, que fort peu de pratiquants : Laic comme larépublique !!!- Pas de téléphone fixe !! téléphone portable,e-mails..tout en tempsréel et en direct et inlocalisable !!! delocalisés... - Pas d'Offline !!! tout en direct tout sur google- Pas de distance !!! Aucune importance !! puisque l'on peut être partoutet,via internet:consulter ses stocks à l'usine ou dans un entrepot de logistique en zone franche!sis à 3000Km
vendredi 13 avril 2007

LA FRANCE BOUGE + VITE QUE SON ETAT,MAIS NOUS FRANCAIS D'AILLEURS,NOUS DEVONS L'AIDER A DECLENCHER SA REVOLUTION POUR:EVOLUTION ET CHANGEMENT
La France coupée en deux ? La frontière, par où passe-t-elle véritablement ? Entre la droite et la gauche ? Cette division-là n’est plus évidente. Considérons les programmes des principaux candidats à la prochaine élection présidentielle : les similitudes entre eux sont aussi fréquentes que les contradictions. Et une ressemblance l’emporte : la passion de l’Etat. À droite comme à gauche, à des degrés divers, tous estiment qu’il appartient à l’Etat de résoudre tous les problèmes : à chaque question, ils proposent une solution par la loi. Pas par l’initiative privée, rarement par le marché. Etrange obstination de croire que les lois résolvent les questions économiques et sociales : depuis vingt-cinq ans, chaque gouvernement a créé un nouveau dispositif légal d’aide à l’emploi des jeunes sans qu’il en résulte la moindre baisse de chômage chez les jeunes. Mais ces lois ont bien généré une bureaucratie chargée d’administrer tous ces dispositifs inutiles. Ce que l’Etat fait mal, les régions le recopient : l’Ile-de-France propose aux entreprises six cents, oui six cents, dispositifs d’aide économique. On devine combien de fonctionnaires sont nécessaires pour gérer ces six cents formules. Mais combien d’entreprises se sont-elles créées en Ile-de-France grâce à elles ? La région en question ne sait pas répondre (1). Il n’empêche que les candidats, tous, tiennent à la majesté de l’Etat, au maintien voire au renforcement du pouvoir du chef de l’Etat, pouvoir déjà gigantesque, une quasi-monarchie élue, sans équivalent dans aucune autre démocratie. Ségolène Royal veut modifier la Constitution mais « sans modifier les prérogatives du chef de l’Etat » . Et tous les candidats contestent les institutions supranationales, la Banque centrale européenne et l’Euro qui – par bonheur pour les Français- réduisent les marges de manœuvre de l’Etat. Qui a déclaré qu’il fallait « mettre l’Euro au service du travail et des travailleurs » ? Arlette Laguillier, Ségolène Royal ? Non, c’est Nicolas Sarkozy. Aucun ne s’en prend au statut immuable de la fonction publique, à la forteresse de l’Education nationale. Aucun ne s’interroge trop sur le rôle de la puissante armée française dans le monde. Pas un n’envisage de se défaire des palais des ministres ou des préfets, ni même des sous-préfets, et d’installer les gouvernements ou la haute fonction publique dans des bureaux qui seraient juste fonctionnels. Aucun candidat, pas même ceux qui s’émeuvent du déficit public, ne propose de réductions significatives ni précises des dépenses de l’Etat. Aucun n’envisage de supprimer des administrations qui ne servent plus à rien et existent toujours, le Commissariat au Plan ou la Délégation à l’aménagement du territoire par exemple. Aucun n’observe que les sous-préfets n’ont plus rien à faire ou que le ministère des Finances conserve les mêmes effectifs qu’il y a vingt ans, avant l’informatique et avant l’Europe. Quel que soit le résultat de cette élection présidentielle, les prérogatives de l’Etat, son absolutisme, devraient rester intactes. Même avec Sarkozy. Car le plus libéral des candidats, sur les marches du Palais, se révèle peu libéral. S’il le fut, ses discours de campagne ne le sont plus : discours patriotiques et sécuritaires, rédigés par un certain Henri Guaino, cheval de retour, auteur en 1995, des discours d’un certain Jacques Chirac. Chirac, qui récemment, déclarait au journaliste Pierre Péan (2) : « Le libéralisme, comme le communisme, est une aberration de l’esprit, vouée à disparaître ». Chirac peut partir, rassuré : nul candidat ne se réclame du libéralisme, tous vouent au marché, à la mondialisation, à la société civile la même méfiance ; à gauche, c’est la haine, à droite la méfiance.Ces postures des candidats, en dehors du microcosme politique, ont-elles une véritable importance ? En réalité, tout se passe comme si la politique et l’Etat en France évoluaient sur un plateau distinct de la société. La société française, réelle, en dehors de ceux qui gèrent l’Etat et que l’Etat emploie (un quart des Français tout de même) évolue plus vite que l’Etat ; à très grande vitesse elle s’éloigne du discours étatique et de la distinction droite gauche. S’il existe bien deux France, la France coupée en deux, opposons ici la France entreprenante et la France d’Etat.L’élection désignera celui ou celle qui va s’approprier la France d’Etat ; la France entreprenante est ailleurs.Cette France entreprenante a épousé notre époque, elle est mondialisée ; la France d’Etat reste figée dans le marbre de l’Histoire. Les candidats s’émeuvent de la mondialisation ? Mais un quart des Français travaillent pour l’exportation, ils placent la France au deuxième rang mondial de l’exportation par habitant, après l’Allemagne : un Français exporte 60% de plus qu’un Américain (3). Les principales entreprises françaises, le CAC 40, sont mondialisées jusqu’à réaliser 80% de leur chiffre d’affaires hors de France : le rapatriement de leurs bénéfices et la distribution de leurs dividendes font vivre plusieurs millions de Français actifs et retraités. Il s’est créé, en 2006, 322 270 nouvelles entreprises, souvent unipersonnelles. Voici qui témoigne d’une conviction désormais majoritaire dans la société française : la prospérité personnelle passe par l’entreprise.Comme une illustration en creux de cette préférence pour l’entreprise, le nombre des candidats à l’Ecole Nationale d’Administration qui recrute les hauts fonctionnaires, ne cesse de diminuer : trente candidats pour une place il y a trente ans, cinq aujourd’hui. À Sciences Po, Paris, il y a trente ans, 100% des élèves interrogés en première année désiraient entrer à l’ENA ; moins de 10% l’envisagent aujourd’hui. Les autres ? Ils préféreraient « travailler dans une entreprise internationale ». Sciences Po qui, pendant un siècle, fut l’antichambre du pouvoir d’Etat, s’est métamorphosé en business school internationalisée.Sortons de France, voyageons : on est certain de rencontrer des « réfugiés fiscaux » et en plus grand nombre, des réfugiés économiques, des jeunes Français décidés à entreprendre ailleurs parce que l’excès d’Etat, chez eux, les en a dissuadés. Combien sont-ils ? Deux millions sans doute dont au moins cinq cent mille aux Etats-Unis. La plupart n’en restent pas moins français mais la société française ne coïncide plus avec le territoire de la France : elle est là où les Français se trouvent, au loin de la bureaucratie nationale.En France même, surgissent de la société et pas de l’Etat des stratégies de contournements de la bureaucratie. Voyez l’enseignement supérieur : les Universités et les grandes écoles persistent dans des programmes qui ne reflètent pas l’économie réelle. À côté et en dehors de cet enseignement public, se sont créées ce qu’un récent rapport de l’Académie des sciences morales et politiques(4) appelle « Les petites grandes écoles ». Extrêmement populaires auprès des étudiants, ces établissements privés, souvent gérés par des Chambres de commerce, préparent à tous les nouveaux métiers que les Universités, l’ENA ou l’Ecole Normale Supérieure ignorent parce qu’ils sont triviaux : le commerce, la communication, la publicité, le design, etc… Ces petites grandes écoles sont payantes, souvent onéreuses ; mais les étudiants et leur famille n’hésitent pas à investir dans des études qui débouchent toujours sur un emploi ; tout le contraire des universités gratuites et des grandes écoles qui au mieux, conduisent à la fonction publique. S’il fallait retenir un symbole de la société française qui change contre l’Etat bloqué, ces petites grandes écoles suffisent.Parmi les Français qui font bouger la France, signalons le rôle singulier des jeunes issus de l’immigration. On en connaît les désespoirs et les violences ; mais par-delà ces idées reçues et les images spectaculaires, visitons Marseille Nord, une ville arabe ou presque. Deux millions de Français venus d’ailleurs en ont fait une zone d’entreprises, artisanat, commerce, petite industrie, industrieuse et sans désordres majeurs (8). L’Etat ne s’en mêle pas, la mairie non plus : c’est quasiment une zone franche. L’islam qui y est pratiqué sous l’égide du Mufti de Marseille, Soheib Bencheikh, est des plus tolérants ; le mouvement musulman qui y domine, l’Association des familles musulmanes, est libéral en religion et en économie.Ecoutons les rappeurs, cette voix de la banlieue, que décortiquent les sociologues et les politiciens avec l’espoir d’y trouver un message. Mais, comme l’explique Joy Sorman (5) dans un essai sur le groupe NTM, le rap émet du bruit, pas des messages ; ce qui est vraiment signifiant, c’est le comportement des rappeurs, chefs d’entreprise dès qu’ils le peuvent. « S’amuser tout en étant productif », dit JoeyStarr. « Le rêve d’un capitalisme heureux », c’est ça aussi le bruit de la « banlieue ». Au plus loin des débats sur la création ou pas d’un ministère de l’Immigration, le rappeur illustre le décalage spectaculaire entre ce que Jean-Pierre Raffarin appelait la France d’en bas et la France qui bouge.Envisagera-t-on une réconciliation entre ces deux France ? Comme raison d’espérer, on rappellera que la gauche et la droite en France sont moins extrémistes et opposées qu’elles ne le furent il y a vingt-cinq ans. Plus personne à gauche, en dehors du folklore gallo-trotskiste, ne réclame la nationalisation des entreprises ; à droite, plus personne ne réclame sérieusement le retrait de l’Union européenne. La gauche qui était marxiste est devenue social-démocrate sans l’avouer ; la droite qui était nationaliste est devenue assez libérale sans s’en apercevoir. On peut en déduire qu’à terme, la classe politique, la fonction publique, la nomenklatura évolueront vers un Etat moins interventionniste. Le philosophe Jean Baudrillard (6), paradoxal et prophétique, écrivait que » la France c’est l’Amérique, mais avec un sous-titrage ». Baudrillard signifiait par là qu’il n’existe pas trente-six formes de la modernité mais une seule dont les Etats-Unis, qu’on le regrette ou pas, figure l’avant-garde : la modernité « américaine », c’est le capitalisme plus l’Etat minimum. En France, le capitalisme ? En vingt-cinq ans, il a gagné un espace considérable : on aime ou pas mais c’est un fait. Exemple : nul n’imaginait, il y a vingt-cinq ans, privatiser Renault ; nul, aujourd’hui, n’envisage de renationaliser Renault. L’Etat minimum ou si l’on préfère la juste expression du sociologue Michel Crozier(7), l’Etat modeste, suivra-t-il ? Oui, parce que la France d’en bas n’acceptera pas indéfiniment qu’on lui confisque chaque année 54% de ses gains, contre 27% aux Etats-Unis, ou 43% en Grande-Bretagne. Que signifient ces grands écarts de prélèvement ? Les Britanniques seraient-ils moins bien soignés ? N’auraient-ils pas de service public ? En vrai, le poids de l’Etat dans nos sociétés ne reflète pas l’abondance ni la qualité des services mais leur mode de gestion et la liberté du choix des citoyens. Lorsque l’Etat recule, la qualité de la vie ne diminue pas, mais les citoyens deviennent plus libres de choisir la manière dont ils sont soignés, de choisir leur service public et de trouver plus facilement un emploi sur un marché du travail actif. Le gros Etat en France entrave l’économie mais plus encore, il s’oppose à la liberté de choix des Français : ce débat-là, pour l’instant, est esquivé mais la réalité finira par vous rattraper.
Publié par offshorebusiness sauvanet à 08:37
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