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lundi 25 février 2008

jeudi 21 février 2008

François REBSAMEN : ENNEMI D'INTERNET

FRANCOIS REBSAMEN : ENNEMI D'INTERNET !FRANCE : INTERNET (EXCLUSIF) : Francois Rebsamen (photo), maire de Dijon, numéro 3 du parti socialiste PS, est visé ce lundi 26 juin 2006 par une plainte pour tentative de chantage. Francois Rebsamen, proche de François Hollande, prépare les élections législatives de 2007 à Dijon en achetant des liens commerciaux sur Internet via son site internet en .info. Directement ou indirectement Francois Rebsamen contrôle déjà : dijon2007.eu ; dijon2008.eu, achetés par Alain Millot, au nom de la mairie de Dijon le 19 juin 2006 chez VeriSign.fr via Eurid.eu ; dijon2007.fr, dijon2008.fr, dijon2008.com ; dijon2008.org ; dijon2008.net, dijon2008.info, blogpsdijon.com achetés chez Gandi.net par Laurent Grandguillaume au nom du parti socialiste de Dijon. NDLR. 2007 et 2008 sont 2 dates d'élections en France, (président, députés, maires...). dijonseveille.com, site "historique" de la campagne municipale en 2001 de Francois Rebsamen, a disparu. Le "contact administratif"du site Michel Deutsh fut discrètement nommé, dès son élection à la mairie de Dijon en 2001, directeur de la police municipale de Dijon, un poste clé donnant accès aux informations les plus confidentielles sur chaque habitant de Dijon. Alors que le blog du PS Dijon défend officiellement la "Liberté d'expression" et les blogueurs victimes de plaintes d'élus (de droite), Francois Rebsamen s'attaque officieusement depuis juin 2006 aux blogs, forums ou articles sur Internet en demandant la "suppression immédiate" de tous textes et images défavorables, plus particulièrement ceux liés à sa condamnation pour fraude électorale du Tribunal administratif de Dijon rendu le 19 octobre 2004. "Protect-medias-tribune" "site consacré à la liberté de la presse dans le monde" qui hébergeait le seul forum défavorable à Francois Rebsamen, visé dans sa lettre du 7 juin 2006, ne répond plus ! On pouvait y lire un texte, introuvable sur Internet, de l'ex-1ère secrétaire du parti socialiste de Côte d'Or, Madame Marie-Térèse Mutin : "François Rebsamen est éminemment sympathique, mais il est opportuniste. Il conclut des alliances en fonction de sa carrière. Moi qui me moque des postes, je ne comprends pas qu'on puisse faire de la politique en ne défendant pas ses convictions." Francois Rebsamen conteste également les expressions "membre influent de la communauté juive et du Grand Orient de France GODF". Plus de détails sur Francois Rebsamen maire de Dijon visé par une plainte pour chantage : (SUPPLEMENT) : FRANCOIS REBSAMEN : ENNEMI D'INTERNET

RAPPEL DES DROITS FONDAMENTAUX

A - "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit"- Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'hommeDéclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.B - "Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières."- Article 11-1 de la "Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne". 2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000.

LES LOBBIES ET SARKOSY

mardi 12 février 2008

06 FEVRIER 2008 :UNE DEMOCRATIE EST EN DEUIL ou pour le moins bien mal en point .....

Avec un débat sur le traité de Lisbonnne qui n’a surtout pas eu lieu… et un vote en catimini en seule compagnie des eurolâtres.
« Ce qui a été fait par le Peuple ne peut être défait que par lui »… ben non, il est trop con le peuple français.

Je n’ose imaginer la réaction des mêmes si d’aventure Hugo Chavez passait outre le vote de « son » peuple pour imposer sa nouvelle constitution désavouée par les vénézuéliens… Je pense qu’on aurait droit aux cris d’orfraie du type « Il ne respecte pas la démocratie, c’est un dictateur on vous l’avait dit »… là non… ils sont entre gens sérieux et responsables.

Deuxième exemple… notre sinistre Président vient d’annoncer une prime pour le minuimum vieillesse… Bien… nous savons désormais que la voix d’un vieux vaut 200€… y aurait-il des élections courant mars ?

Ce muti-récidiviste de l’annonce populiste avait déjà fait fort à Gandrange…
Même constat… certains, toujours très prompts à dénoncer l’incompétence, bien entendu naturelle, de Ségolène Royal, n’avaient pas manqué de sortir l’arme lourde pour les propos de cette dernière suite au scandale de la Société Générale… Là.. Là.. non… boudiou que non… ce n’est pas pareil…

Et puis… franchement, il n’y pas de quoi casser trois pattes à un canard… déjà, il nous avait fait le coup des centrales nucléaire de déssalinisation de l’eau de mer pour la Libye... c'était déjà un bon début... après c'est un festival de mensonges et de démagogie mais Ce n'est décidément pas la même chose pour la Royal.

Allez… ce n’est pas grave…

mardi 5 février 2008

CAPITALISME ou ETATISME ?...........

de Monsieur Claude Moniquet:
"L’atmosphère d’hystérie collective qui semble s’être emparée des médias et de
certains politiques – jusqu’au président de la République – dans l’affaire de la Société
Générale a de quoi inquiéter. Elle révèle, en effet, deux des principaux aspects du mal
français : la croyance dogmatique dans l’omniscience et le rôle bienfaisant de l’Etat et
la volonté de celui-ci de se mêler de tout, y compris de ce qui ne le regarde pas.
Qu’on nouscomprenne bien : nous déplorons, comme toute personne raisonnable,
l’enchaînement de circonstances qui aurait permis à un trader de la Société Générale
de faire perdre 5 milliards d’Euros à la banque. Mais nous voudrions revenir à
quelques fondamentaux. Le premier d’entre eux devrait être le plus simple: Jérôme
Kerviel est innocent jusqu’à ce qu’un tribunal l’ait, définitivement, reconnu coupable.
De ce fondement du droit pénal, les médias et nombre de commentateurs (y compris
dans le monde politique) semblent faire peu de cas.
Masi surtout, il est choquant de voir l’Etat, au plus haut niveau être pris
d’une sorte de danse de Saint-Guy purificatrice. Ainsi, quand le président
de la République appelle, à mots à peine couverts, le président de la
Société Générale, Monsieur Daniel Bouton, à « démissionner », il sort
nettement du rôle qui est le sien. La Société Générale est, jusqu’à preuve du
contraire, une entreprise privée, et les décisions portant sur sa gouvernance et
le contrôle de celle-ci ne relèvent donc, tant qu’aucun délit n’a été
commis, que de ses actionnaires qui, à 97%, sont privés (l’État ne contrôle que
2,03 % de son capital, directement via la caisse des Dépôts et Consignations, et
quelques miettes, indirectement, via la CNP).
Il y a, dans les propos du président, deux choses profondément dérangeantes.
Premièrement, ils témoignent de cette omniprésence d’un président de la République
qui, quel que soit la sympathie que l’on peut avoir pour lui, risque de fatiguer, de
s’user et de banaliser sa fonction à force de se mêler de tout et de rien et de dégainer
les déclarations plus rapidement que son ombre. Deuxièmement, ils mettent en
évidence la difficulté d’un homme comme Nicolas Sarkozy, qui a pourtant
été élu sur un programme « libéral » et « de droite », à se défaire de la
tradition étatiste française. Au point que l’on en vient à se demander si le
seul choix offert à nos concitoyens ne serait pas, en définitive, entre
l’étatisme de gauche et l’étatisme de droite.
Le rôle de l’État, dans le système capitaliste –qui, malgré ses nombreux défauts et
n’en déplaise à ses détracteurs, est le seul à ce jour à avoir fait ses preuves et à créer
de la richesse – est celui d’un arbitre: il est là pour appliquer la loi, assurer la sécurité
et maintenir les grands équilibres. Ni plus ni moins. Il nous semble qu’il y a en
France, aujourd’hui, assez de problème à régler – depuis la réduction et la
rationalisation d’une fonction publique pléthorique jusqu’à la régulation de l’inflation
d’une législation envahissante et souvent stérilisante, en passant par les adaptations
nécessaires qui rendront enfin sa compétitivité à un pays qui étouffe sur l’impôt,
l’assistanat généralisé et les archaïsmes de tout genre (dénoncé entre autres par le
courageux rapport Attali) – pour que le président de la République ait de quoi
occuper ses journées.
Réclamer la démission de Monsieur Bouton ou de tout autre responsable
d’une entreprise privée comme s’indigner du niveau de rémunération des
patrons et cadres français (qui ne sont pas parmi les mieux lotis du
mondemais sont en revanche parmi les plus taxés) relève du populisme.
Ce populisme étonne peu dans des médias, qui feraient mieux de balayer devant leur
porte avant de prétendre moraliser le monde.
Il est nettement plus désolant, en revanche, quand il vient du sommet de
l’Etat parce qu’il entretient l’idée fausse que l’Etat peut tout et doit tout
faire et assumer alors que le problème de la France nous semble être,
précisément, qu’il y a trop d’État."